Violences intrafamiliales : à Beynes une convention « Bons taxis », signée

C’est une belle avancée pour cette cause si souvent ignorée que sont les violences intrafamiliales.

Malgré la crise sanitaire, la vie associative avance aux coté des élus et de l’Etat. Associations, communes sont souvent partenaires dans des projets innovateurs en partenariat avec les services de l’Etat. Cette richesse locale mérite d’être signalée. A Beynes, une convention « Bons taxis » a été signée.

Quelle belle initiative entre l’association locale « IRIS » (Indépendance Respect Identité Soutien), la mairie de Beynes. C’est la première convention « Bons taxis » signée sur les Yvelines.

Une convention « Bons taxis » a été signée ce vendredi 29 janvier, à la mairie de Beynes, entre l’association beynoise IRIS et les 5 « Bons taxis », en présence de l’adjudant Virginie Redureau, Mme Savina, déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité des Yvelines, Monsieur le Maire de la commune de Beynes Yves Revel, Mme Sophie Mairesse, Maire Adjointe déléguée à la santé, à la prévention et la sécurité et Mme Annick Pandolfi Maire Adjointe déléguée à la petite enfance et aux affaires sociales.
La présidente de l’association IRIS remercie la société Teamtex (société française de Savoie) qui a immédiatement répondu présente et a offert 10 sièges autos, qui équiperont les véhicules des femmes taxis, pour le transport sécurisé des enfants co-victimes de violences.
gazette du montfortois : Beynes, signature d’une convention « Bons taxis », un pas de plus dans la lutte contre les violences intrafamiliales
https://gazette-montfortois.fr/?p=31905

Gazette du Montfortois : Beynes, signature d’une convention « Bons taxis », un pas de plus dans la lutte contre les violences intrafamilialeshttps://gazette-montfortois.fr/?p=31905

C’est une belle avancée pour une cause si souvent ignorée, que sont les violences intrafamiliales.

NDLR : Je souhaitais mettre en avant cette initiative qui s’est déroulée sur notre bassin de vie, sur ce sujet que sont les violences intrafamiliales . Car « Quand on veut, on peut »

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